le cadre spatio-temporel  

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le lieux 

Les événements de la nouvelle se sont déroulées dans plusieurs lieux comme :
La maison de M. Loisel : on peut le considérer comme le lieu principal car la majorité des événements principaux s’est déroulée là.
La maison de Mme Forestier : là, Mme Loisel a prêté la rivière de diamants.
L’hôtel du ministre : Dans ce lieu M. et Mme Loisel ont passé la soirée dans laquelle cette dame a vu la concrétisation de son rêve en étant la plus belle et attirant, par conséquent, l’intention de tous les invités.
Les Champs-Elysées : C’est l’endroit où Mme Forestier s’est rencontrée avec son amie qui lui a deviné la vérité
 

 

par Ahmed  Ifawi

les valeurs de temps dans le passé

Comprendre la composition du chapitre

  1. « Madame Loisel connut la vie horrible des nécessiteux...Et cette vie dura dix ans »
    temps dominant = passé simple -->actions ponctuelles
    -->utilisé à la place de l’imparfait
    accumulations verbales
    rythme rapide : ponctuation (virgules et points virgules).

    Grâce à l’emploi du passé simple, à l’accumulation de verbes et à la ponctuation, le narrateur donne à cette première partie du texte un rythme rapide. Ce rythme accentue l’idée que les dix années se passent très vite ; ce sont des années perdues pour le couple Loisel.
    Raconter dix années en quelques lignes correspond à un sommaire.
  2. « Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué...elle avait été si belle et si fêtée » temps dominant = imparfait
    Verbes d’état Verbes d’action
    mme Loisel semblait
    elle était devenue
    son mari était
    elle avait été
    elle parlait
    lavait
    elle s’asseyait
    elle songeait
    => description => valeur durative


    Le narrateur, grâce à l’utilisation de l’imparfait, donne à connaître le nouvel état irréversible de Mathilde – état irréversible après dix années de souffrance et de privation.
  3. « Que serait-il arrivé...vous perdre ou vous sauver ! »
    Temps des verbes de la première phrase : concordance des temps = futur II par rapport à un temps du passé, ici le plus-que-parfait.
    Les autres verbes sont au présent de l’indicatif = présent de vérité générale.

    Le narrateur prend en charge les paroles de Mathilde, il s’agit d’un discours narrative (appelé aussi « récit de paroles »).